Essais de rimes sorties du cœur...

Quand la vie se déroule comme dans une histoire,
Où Destin, Karma, Anges Gardiens et Autres,
Agissent, influencent, sans qu'on puisse les voir,
Se mélangent, s'entre-aident et s'allient,
Dirigent notre vie, balancée comme une feuille morte,
Subissant tous ces vents, comme maudit,
Objet impuissant à tout cela, qui ne peut rien y faire,
Dont le chemin hésite, tantôt paradis, tantôt enfer.

La Chute est lancée, la fin inéluctable,
Adviendra ce qu'il adviendra, c'est inévitable.

Alors quand nos convictions s'envolent,
Notre univers se brise, et tout ce qu'on repoussait,
Nous revient vivement, comme un élastique relâché,
Et sous la perte de ces illusions, on regarde le sol,
Cherchant de nouveaux repères ou espérant,
Vainement ou non, que s’accélère le temps.

Puis on s'y fait, blessé on se relève, mais,
Cette vérité revient, et comme des couteaux
Bien plantés, se remuent dans notre plaie,
Et bousillent notre corps en lambeaux.

Il est intéressant de voir, que dans ces situations,
On apprend a se connaitre, comme jamais auparavant.

Cette aventure nous transporte dans un étrange schémas,
Ou répétitions et surprises s'entre-mêlent,
Coïncidences ou non, le croire et un choix,
Et de notre Chute, on détient une vision nouvelle.

Ce qui autrefois était joie, nous meurtrie,
Il faut alors placer ailleurs nos lubies.

Les acquis manquants de soi sont parfois,
Aussi lourds et collants que de gluants poids,
Surtout devant le savoir des autres en spectacle,
Alors on demande qu'une chose; un miracle.

Dans la plaie ouverte du sel est versé,
Il faut savoir accepter et supporter,
Pour pouvoir avancer,
Et dans la vie se réintégrer.
Cette action est répétée,
Pour réussir il faut lutter.
Déceptions et trahisons vont alors rythmer,
Le présent, le futur, et l'ont fait au passé.
Dans la Chute on ne peut pas reculer,
Alors il faut relativiser.
Prévoir est une tentative et un devoir,
Qu'il faut réitérer pour ne pas mal choir.

Entre sentiments et raison,
On peut se demander,
Lequel, la vie, va contrôler,
Créer un tout, un semblant,
Qui comme un tourbillon,
Nous emporte et nous brouille bien,
Tel qu'on ne voit rien par vision,
L'Oeil, du reste, on ne différencie rien.
Objet, comme marionnette à ces vents,
Qui, peut-être, tiennent leurs origines de la raison,
Ou alors, qui sait, de l’imagination.

Comme une bulle,
Semblable à un rempart,
Prisonnière d'une cellule,
Qui reste, même quand on en a marre,
Atténue les contacts,
Créait un manque, soulage,
Extérieure à tout actes,
Le miroir ne renvoi pas mon âge.

Présente et absente,
Perception négative de ( son ) importance,
Embarquée dans cette descente,
La remontée est plus intense,
Difficile à parcourir,
Semée de déceptions,
La Bulle était un refuge face aux complications,
Elle anesthésiait, sans relacer, faisait souffrir,
Aujourd'hui dans son ombre, la chose est pire,
Mais vouloir y échapper, je ne saurais le dire.

Déclenchée il y a plusieurs années,
Elle est familière, comme une alliée,
Augmentée et changée avec le temps,
Et sous l'influence d'un élément,
La Solitude est une mère dangereuse
Qui promet, mais rend malheureuse.