Le peuple des Elfes

Les Elfes, le beau peuple
Première race apparue après le Grand cataclysme, les Elfes ont joui de bons atouts par la Nature. Grands, une peau glabre, des cheveux souvent argentés et des oreilles pointus. Bénis par Amélion, la terre nourricière, ils reçurent le don de longévité. Cependant, cette longévité cache néanmoins un revers de la médaille : si ces longues années de vie, de près d’un millier d’années pour certains, leurs permettent d’être sages et d’autres de puissants guerriers, elle les astreint à une natalité très basse. C’est pourquoi les Elfes sont un peuple aux coutumes et rites très rigoureux, les conflits pouvant s’étaler sur des générations entières.

Jadis, les Elfes furent intimement liés au sort des dragons, créatures mythiques issues du myste. Ils décidèrent de sceller un pacte entre leurs deux races, les dragons ayant jugé les Elfes come leurs égaux. Il est dit dans ce pacte, que chaque reine elfe sera choisie par un dragonneau issu d’une portée d’un Grand dragon, porteur de sagesse.
Depuis la disparition des dragons, ce lien demeure toujours. Il apparait sous la forme d’un esprit attribuant un dragon à une jeune fille élue à la mort de la reine précédente. Cette cérémonie s’exécute dans un endroit secret du Palais d’ivoire et nul ne peut contester son authenticité.
Les elfes s’organisent en une société très hiérarchisée où chacun à une place définie. Ainsi, on trouve plusieurs «castes ». Les Hauts Mages et les Grands Guerriers sont les plus hautes et se situent dans l’entourage direct de la reine. Puis vient les Initiés, ayant un certains pouvoirs décisionnel sur les Valaris qui constituent la majeur partie du peuple elfique.

Les crimes et délits étant extrêmement rares, la justice n’est quasiment pas exprimée. Néanmoins, elle est confiée à une unité spéciale qui est chargée de mener l’enquête et d’appréhender le ou les criminels.

Les Elfes, tous sans exception, vouent un culte à toute forme de vie et de la Nature. Tuer pour le plaisir est une offense envers la terre nourricière et peut être très critiquée.
Il n’y a pas vraiment de majorité légale, le temps n’ayant que très peu d’effet sur eux, ils se considèrent toujours en apprentissage de la vie. Le taux de fécondité étant extrêmement faible, les mœurs autorisent et encouragent la polygamie afin d’accroître les chances de procréation.